« Amsatou Sow Sidibé percevait mensuellement et jusqu’à un passé récent, deux millions de la présidence de la République. » C’est ce qu’a écrit, cette semaine, le quotidien Libération. L’auteur de l’article est même allé jusqu’à insinuer que le professeur Amsatou Sow Sidibé a tenté de le corrompre pour qu’il se censure. « Faux », a répondu l’intéressée au cours d’une conférence de presse tenue ce mercredi 26 octobre 2011. Le lendemain, elle a décidé de porter plainte contre le journal.
La présidente de la Convergence des acteurs pour la défense des valeurs (Car/Leneen) est choquée par l’article que le quotidien « Libération » lui a consacré cette semaine. Le journal l’accusait de percevoir, jusqu’à un passé récent, deux millions de francs mensuels de la présidence de la République. Ce qu’a totalement démenti le professeur Amsatou Sow Sidibé.
Au cours d’une conférence de presse tenue mercredi, elle a d’abord tenu à préciser : « Il est normal qu’une institution qui défend une cause juste dans l’intérêt des populations perçoive une subvention de l’Etat. » Mais, s’empresse-t-elle d’ajouter, « s’agissant du Réseau africain des femmes travailleuses (Rafet), nous n’avons reçu de l’Etat, depuis l’alternance, qu’une subvention unique de deux millions en 2004 ». Suffisant alors pour qu’elle déclare : « Dire que nous avons perçu depuis des années un salaire mensuel occulte est une fausse information, une diffamation. » Aussi invite-t-elle l’auteur de l’article « à fournir les preuves de son
mensonge ».
N’aurait-elle pas obtenu gain de cause ? En tout cas, le Pr Amsatou Sow Sidibé a servi une citation directe au directeur de publication, Yakham Mbaye, et à Daouda Thiam, chef du desk « Politique » du dernier né des quotidiens dakarois. Elle a commis un pool d’avocats dont Me Assane D. Ndiaye, Adnan Yakhya et El Hadj Diouf pour défendre ses intérêts.
Toujours à propos de cette affaire, Amsatou Sow Sidibé a démenti avoir, une seule fois, essayé de donner de l’argent au journaliste Daouda Thiam pour qu’il n’écrive pas l’article en question. « J’ai parlé de niébé. Mais sachez que cette farce entre dans le cadre de la parenté à plaisanterie entre les Sow et les Thiam. Ce qui est une richesse de la culture sénégalaise », a-t-elle précisé. Le tribunal correctionnel va trancher…
La présidente de la Convergence des acteurs pour la défense des valeurs (Car/Leneen) est choquée par l’article que le quotidien « Libération » lui a consacré cette semaine. Le journal l’accusait de percevoir, jusqu’à un passé récent, deux millions de francs mensuels de la présidence de la République. Ce qu’a totalement démenti le professeur Amsatou Sow Sidibé.
Au cours d’une conférence de presse tenue mercredi, elle a d’abord tenu à préciser : « Il est normal qu’une institution qui défend une cause juste dans l’intérêt des populations perçoive une subvention de l’Etat. » Mais, s’empresse-t-elle d’ajouter, « s’agissant du Réseau africain des femmes travailleuses (Rafet), nous n’avons reçu de l’Etat, depuis l’alternance, qu’une subvention unique de deux millions en 2004 ». Suffisant alors pour qu’elle déclare : « Dire que nous avons perçu depuis des années un salaire mensuel occulte est une fausse information, une diffamation. » Aussi invite-t-elle l’auteur de l’article « à fournir les preuves de son
mensonge ».
N’aurait-elle pas obtenu gain de cause ? En tout cas, le Pr Amsatou Sow Sidibé a servi une citation directe au directeur de publication, Yakham Mbaye, et à Daouda Thiam, chef du desk « Politique » du dernier né des quotidiens dakarois. Elle a commis un pool d’avocats dont Me Assane D. Ndiaye, Adnan Yakhya et El Hadj Diouf pour défendre ses intérêts.
Toujours à propos de cette affaire, Amsatou Sow Sidibé a démenti avoir, une seule fois, essayé de donner de l’argent au journaliste Daouda Thiam pour qu’il n’écrive pas l’article en question. « J’ai parlé de niébé. Mais sachez que cette farce entre dans le cadre de la parenté à plaisanterie entre les Sow et les Thiam. Ce qui est une richesse de la culture sénégalaise », a-t-elle précisé. Le tribunal correctionnel va trancher…